L’audience de ce jeudi 6 mars, devant le tribunal d’Auch, est "triste, mais c’est aussi un miracle, que des faits si anciens soient jugés aujourd’hui", estime Maître François Roujou de Boubée, l’avocat de quatre des cinq femmes présentes
Il appelle "à rétablir la justice. Ce dossier est aussi celui de l’omerta, il faut briser le mur du silence. Aujourd’hui, on écoute les victimes et on les croit".